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Le secteur de la traduction (écrit) et de l'interprétation (oral) est relativement méconnu.


En France, ce n'est pas une profession réglementée même s'il existe des formations supérieures dédiées dans plus d'une dizaine d'universités. Et les traductions ne s'achètent pas, ni ne se vendent, en libre-service comme des paquets de café ou des litres d'essence.

À votre avis, traduire un slogan marketing ou un jeu de mot, est-ce simple ? Et trouve-t-on facilement quelqu'un sachant traduire des textes sur la fission nucléaire, le marketing ciblant les jeunes (adidas), les sous-produits de l'épuration (syndicat des eaux), un rapport financier ou encore une étiquette de packaging pour une pâtisserie haut de gamme ?

Enfin, quels garde-fous existent-ils lorsqu'on ne peut pas soi-même valider le travail d'un traducteur par méconnaissance de la langue cible ?

Lorsque je travaillais en tant que manager dans les Études marketing, j'utilisais 3 solutions lorsque j'avais un besoin d'une traduction :

  1. Je traduisais moi-même vers l'anglais et j'y passais beaucoup de temps pour un rendu parfois médiocre : je n'avais pas encore été formée spécialement pendant 2 ans, et bien connaître deux langues ne suffit pas,

  2. Je m'inspirais de textes similaires dans la langue souhaitée, piochés sur internet, mais qui s'éloignaient toujours un peu trop de mon sujet,

  3. Ou je faisais appel à une professionnelle indépendante (WhynottakeAudrey) qui était spécialisée dans mon secteur d'activité. Avec elle, aucun besoin de lui expliquer dix fois ce qu'était pour moi, en français, un "terrain d'étude" , un "plan merch", un "catman" ou un "distributeur" ! Elle trouvait d'emblée le bon terme anglais.

Confier un travail de traduction à un.e expert.e est la meilleure solution pour obtenir un travail de qualité, c'est-à-dire qui soit "clé en main", pertinent, compréhensible immédiatement, avec le bon lexique professionnel ou technique et réalisé dans les délais.


Pour cela, il faut trouver la personne appropriée et prendre ensuite le temps d'aborder avec elle les "translation specifications" en anglais, c'est-à-dire les éléments de brief.

Vous retrouverez des conseils et recommandations dans le Guide de l'acheteur de traduction publié par la SFT et que je mentionne au bas de la page d'accueil de mon site. En bref, si votre traducteur ne vous demande pas :

- à qui votre texte traduit est destiné ?,

- s'il existe des règles au sein de votre entreprise telles que des noms propres déposés, des mots à ne jamais traduire, des préférences typographiques,

- le nom d'une personne à contacter concernant le sujet d'expertise abordé dans le texte (en cas de questions),

- le format final attendu

ou encore l'objectif de la traduction (convaincre?, former?, instruire?, vendre?,..),

ALORS CHANGEZ EN VITE !


S'il ne vous parle que prix et délai, méfiance...

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